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Bari

Bari

Brindisi étant malgré tout une petite ville, il nous faut rejoindre Bari, la capitale de la région des Pouilles où l’aéroport dispose d’une ligne aérienne avec notre beau pays.

Pour cette liaison de plus de cent kilomètres rien de tel que le train , que nous n’avons pas encore expérimenté, en raison d’une tentative malheureuse il y a une semaine.
Mais cette fois ci, exactitude quasi helvétique, réseau à deux voies , la classe...

Et , ici comme ailleurs , le train permet d’avoir une vision un peu différente de celle que l’on a de la route.
Nous avons donc traversé une mer d’oliviers, même si au loin, l’Adriatique apportait dans le tableau, son bleu si particulier.
Et ce passage, malgré tout rapide, au moins par rapport à notre vitesse de progression habituelle, permet de faire des comparaisons, dans l’organisation des oliveraies. Les plus anciennes , celles où les arbres sont pluri centenaires, ne semblent pas (ou plus) bénéficier d’une structure bien définie . Bien souvent d’ailleurs les oliviers partagent le terrain avec une prairie ou même des sols dédiés aux céréales .
Et comme depuis plusieurs jours maintenant, nous avons vu les oléiculteurs s’activer autour des arbres pour préparer la récolte à venir dans quelques semaines, ici aussi on s’y emploie. C’est à dire que nettoie une zone de trois à quatre mètres autour de l’arbre .
Pour les exploitations modernes les arbres sont plantés comme n’importe quel autre arbre fruitier, c’est à dire aligner comme à la parade. C’est sûr que le côté «  petit pâtre qui surveille plus la bergère que ses moutons «  a dans cette dernière organisation complètement cédé la place à l’agro-industrie......
En revanche pas de trace d’oliviers souffrant de ce parasite dont nous avons vu les jours précédents les atteintes.

Bari est une grande ville à la fois très ancienne , puisque très vite on vous parle période néolithique, puis romaine, vénitienne, mais ce que j’aime dans ces villes , c’est qu’on ne sacrifie pas le futur au nom du passé et que ,et le 19eme et le 20 eme siècle s’invitent harmonieusement dans la cité en la faisant véritablement vivre et non pas confite, comme j’en connais certaine.....

Nous sommes maintenant en attente de notre avion merci de nous avoir suivi .

Commentaires

  • Bonsoir en ce dernier dimanche de septembre !
    Cette nuit passée fut très arrosée par des averses bien fortes. Votre jardin aura besoin d’un petit nettoyage.
    Vous avez dû apprécier ce voyage en train loin des conducteurs sauvages ! Sûrement que les paysages ont ravi vos yeux. Nous sommes très heureux que ce périple vous a pleinement satisfait malgré quelques petits inconvénients qui ont amené un peu de piment. Sourire !
    Ce matin sur la digue, nous avons rencontré Boris assis sur un banc qui" soutenait" Susan qui se baignait.
    Embrassez les grands et petits loups. Nous vous attendons avec impatience et bien qu’ayant suivi votre blog, je suppute que vous n’avez pas tout raconté !
    Georgia

  • Encore un beau chapitre dans votre livre d'aventures !
    Bientôt le retour à la cuisine au beurre, profitez encore quelques heures des oliviers :-)

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