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Niagara falls

Niagara falls

Nous aurions pu, nous aurions du , habitants de Saint Malo, prendre exemple sur Jacques Cartier et prendre la mer pour rejoindre l’embouchure du Saint Laurent. Mais une traversée de cette nature tient maintenant quasiment de la légende .
Nous utiliserons donc un moyen de transport de notre époque , même si le futur de l’aviation semble incertain. Mais pour le présent , le nombre de voyageurs dans l’aéroport me fait penser à cette phrase célèbre de la Comtesse du Barry : « Encore un moment, Monsieur le bourreau « .

Ce dimanche 22 mai était justement un jour d’interruption de la desserte de Roissy par le RER, ce qui nous a conduit à anticiper les difficultés potentielles er comme elles furent moins pénalisantes qu’anticipées, cela nous a offert un long repos devant la porte d’embarquement d’Air Transat qui a pris ses quartiers à Roissy 3.
L’avantage avec les voyages, aériens en particulier , c’est que les procédures d’enregistrement évoluent en permanence. Aujourd’hui pratiquement plus personne derrière le guichet, mais devant, des bornes automatiques qui délivrent lorsque vous avez répondu correctement aux différentes questions, les différents documents y compris la bande adhésive à fixer sur votre bagage en soute, charge à vous de scanner la dite bande devant le tapis roulant......

Cela ne nous pose pas vraiment de problème , mais la première fois c’est un peu déroutant.

Le vol s’est parfaitement passé, certes un peu long , mais on ne traverse pas l’Atlantique en dix minutes.
Je parlais formalités précédemment, mais à Toronto, en encore plus spectaculaire. Les formalités de douanes et police se font devant un écran , dont un nombre incroyable sont à votre disposition, ce sui fait que c’est la machine qui vous attend et non l’inverse , juste un court arrêt devant un policier qui vous jette un coup d’œil sur votre passeport.

Une fois sur le territoire, nous recherchons la ligne de bus dont j’avais connu l’existence sur Internet. Mais internet est une chose , la réalité en est une autre.
Nous n’avons pas perdu trop de temps avec cette affaire et nous nous rabattus sur la voie ferrée, ce qui nous a obligé à passer par Toronto. Tout s’est bien enchaîné, mais manifestement le dimanche, les trains sont ralentis par les travaux. Je ne serais pas trop négatif , car c’est ce que nous avons vécu à Paris.
Nous voici enfin à Niagara Falls 1h30 heure française . (19h30 h. Ici)
J’avais imaginé que nous irions à l’hôtel à pied, mais ce fut le taxi.
Dîner et un peu requinqués vers 2h30 HF, nous décidons d’aller voir les chutes, ici il fait toujours jour.
Retour à l’hôtel à 3h, il est temps de récupérer et de passer à l’heure canadienne !.
Pierre

Commentaires

  • En espérant que ce soit les seules chutes du voyage !

  • Les choses sérieuses vont pouvoir commencer maintenant que vous êtes à pied d'oeuvre! Hâte de lire la suite des vos aventures et la petite rubrique gastronomique s'il y a matière bien évidemment !! Bisous

  • Me voilà!
    En fait , vous vous êtes retrouvés dans un film de science-fiction à l'aéroport de Roissy et au Canada comme dans un film de David Cronenberg, cinéaste canadien assez déroutant.
    Le taxi fut sans doute bien apprécié même si la marche devait "dérouiller" vos muscles après ce vol long par obligation de distance.
    Avez-vous trouvé le rythme du sommeil malgré le décalage car pour vos étapes, il faut être reposés?
    J'espère que vous n'avez pas encore eu ni pluie ni d'orages ; ici seulement de la forte pluie ce qui fait baisser la t° qui, au demeurant, est vivable .
    J'attends avec hâte votre rapport de la première étape qui me donnera certainement des occasions d'améliorer mon commentaire.
    En attente de la visite de nos amis , bonne route , ménagez le plus possible vos pieds et articulations.
    Bises malouines

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