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Oslo

Oslo

Dimanche 26 mai

Pour les plus citoyens d’entre vous, j’espère qu’il ne vous a pas échappé que vous qu’il fallait aller voter .
Et donc moi aussi, et bien que le vol Dinard Londres était perçu à 9 h 55 , nous sommes passés à huit heures sonnantes au bureau de vote . Au moment où j’écris ces lignes j’ignore tout du résultat , je suis passé le premier à l’isoloir et il n’y avait pas la queue derrière moi. Si le résultat de la participation est celui envisagé par les sondages, bien étrange pays où une partie de la population manifeste pour être consultée, mais ne profite pas de l’occasion de la faire quand cela est proposé.
Une fois le petit papier dans l’urne , une amie, grande commentatrice de ce blog , nous conduit a l’aéroport.
Je ne pense pas vous révéler une information couverte par le «  secret défense » en vous disant que le dimanche , quelques minutes après huit heures , la circulation était extrêmement fluide et que nous arrivâmes donc sans encombre à l’aéroport international de Dinard Pleurtuit.
Si prendre l’avion à deux pas de chez soi est un avantage certain et qu’en plus il s’y trouve une ligne qui vous même à une grande plateforme, c’est encore mieux.
Nous fûmes à Londres à l’heure prévue . Un vol pour Oslo était possible peu de temps après notre arrivée , mais je ne l’avais pas réservé car le délai entre ces deux vols était par trop restreint et ne nous mettait pas à l’abri d un éventuel retard ou d’une attente interminable au contrôle de police. Mais rien de tout cela et donc je m’enquiers de savoir s’il reste deux places sur ce vol de fin de matinée .
Non, il est complet et nous restons sur le vol de fin d’après midi.
Pas de chance, les vols du soir « encaissent «  toutes les opportunités de retards de la journée, les programmes de vols de Ryanair étant tendus au maximum.
Pour ceux qui ne voient pas le monde changer, une petite scène vu dans l’aéroport. Je ne dirige vers le lieu où personne ne peut aller à ma place et je vois là, chez les messieurs donc, une table à langer, en plein service.

Nous profitons de ce supplément de temps qui nous est accordé nous dîner sur le sol anglais , l’occasion pour moi de goûter un fish and chips, bien entendu plus présenté enroulé dans une feuille de papier journal comme dans les années soixante. Evelyne n’ayant pas ce genre de nostalgie , pris des pastas al arrabiata.

Tout ceci nous amena gentiment avec un bonne heure de retard , soit 22h15 sur le tarmac de l’aéroport d’Oslo.
Le temps des formalités, de trouver sur le distributeur automatique de billets le nom de la gare où nous voulions descendre , interroger quelques voyageurs pour être certains d’être sur le bon quai et à 23 h nous étions en ville. Dix minutes plus tard nous poussions la porte de l’auberge de jeunesse.

Commentaires

  • Bonsoir à vous deux !
    J'ai guetté si le correspondant du Figaro en Norvège avait déjà eu le temps de nous narrer ce début de voyage. Je vais essayer d'être une correspondante voire un coach en vous soutenant le moral que vous avez en béton..... Cet petit séjour à Oslo va vous donner des forces...... Evelyne, donne-nous des recettes norvégiennes.
    Tu pourras peut-être déguster des pâtes à l' arrabiata tout ce séjour ! Peu de scoops paraméens si ce n'est que OF a remarqué que St-Malo est bien au centre....Peter , je te conserve les pages consacrées aux résultats locaux. Notre départ vers le 56 risque d'être annulé mais il y a plus grave... Ma prose ne brille pas ce soir. Une légère baisse ? Je vous embrasse. Georgia

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