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  • São Vincente

    São Vincente 

    Nous poursuivons notre progression, mais revenons à ce matin.
    Il était donc convenu avec le réceptionniste qu'un coup de fil serait passé au consulat du Cap Vert à Lisbonne , pour savoir s'ils étaient en mesure de nous délivrer le visa nécessaire .
    Après trois tentatives infructueuses , nous décidâmes d'aller sur place, mais au moment de quitter l'hôtel, l'employé nous fit remarquer que s'était le jour du carnaval au Cap Vert.

    En fort peu de temps , nous étions devant le consulat, mais pour y lire , qu'en raison du carnaval, précisément , le consulat était fermé pour deux jours!!! C'est vrai qu'il faut s'en remettre....

    Heureusement l'option de l'aéroport de Praia, la capitale , était toujours possible, mais je craignais une affluence peu compatible avec le temps d'escale.

    Nous arrivons à l'aéroport de Lisbonne et nous validons  nos billets pour les deux vols, ce qui était déjà une bonne chose. En outre la personne chargée de l'enregistrement ne m'a  pas fait remarquer que nous n'avions  pas de visa.
    Jusqu'ici tout va bien.

    Nous dirigeons vers la porte d'embarquement , mais il faudra s'armer de patience , car un premier retard est affiché.
    Les passagers sont appelés et  si la compagnie annonce de règles draconienne pour le poids des bagages , la réalité est un peu différente , fort heureusement et nos sacs nous accompagnent en cabine.

    Nous ne profitons pas de la proximité du hublot, le temps étant particulièrement nuageux.
    Atterrissage à Praia , capitale du Cap Vert. 
    Une fois dans le hall, je repére d'un coup d'oeil le guichet délivrant les fameux visas, sachant que les deux heures disponibles sur le papier , se sont réduites à une heure . Nous faisons la queue , et la fonctionnaire affectée à cette tache est efficace et l'écoulement de la file se fait trés  correctement. 
    C'est notre tour , nous présentons nos passeports et notre obole, car en réalité , il s'agit surtout de percevoir la taxe d'entrée.

    Nous nous dirigeons vers la salle d'embarquement. Sur le billet qui nous a été remis à Lisbonne , l'embarquement devrait avoir commencé.
    J'avais vu sur la piste , le modèle de l'avion qui devait opérer ce dernier trajet, il n'est plus là et aucun tableau n'affiche le vol de Saint Vincent.
    Interrogation!! Ou vont les quelques personnes présentes sachant qu'autre vol est annoncé sur l'écran.

    En fait , l'avion que j'avais aperçu , ne fonctionnait pas au mieux et le pilote était allé en quérir un autre.
    Une heure et vingt minutes dans l'ATR , avion à hélices  et celui ci nous dépose vers 22h à Mindelo, ville principale de Saint Vincente.

    Petite anicroche avec la réservation de la chambre, vite réglée , et nous nous affalons sur les lits en vue d'une récupération express. 
    En effet l'hôtelière vient de nous dire qu'il valait mieux viser le bateau de 7 h, car nombre d'iliens étaient venus pour le carnaval et repartiraient dés potron minet.

    Pierre

  • nouvelles

    sachez qu ici le wifi nest pas repandu, donc de la patience

    A tres bientot, dans la vallee

    Pierre

  • Lisbonne

    Lisbonne

    Le plus long voyage commence par une première étape et cette fois ci , elle se nomme Lisbonne.

    Nous avons quitté Saint Malo après une nuit des plus tempétueuses et la route jusqu'à Nantes fut aussi éventée et arrosée . 
    Comme nous ne sommes du genre à arriver à la dernière minute, nous en avons profité pour faire une micro randonnée en ville , de la cathédrale jusqu'au passage Pommeraye .
    Nous arrivâmes à l'aéroport et tout se passa comme prévu, ce qui ne m'arrange pas car je n'ai , ainsi , pas grand chose à vous raconter.

    Un vol ,lui aussi , sans histoire. Seule chose remarquable  , un avion de  200 places, assurant un lundi , la liaison Nantes -Lisbonne , plein à craquer!

    A Lisbonne , nous trouvons l'hôtel facilement. Je l'avais un peu choisi pour cela , placé sur l'avenida de la Libertad ,,la grande artère de Lisbonne.
    A la réception , je m'enquiers de savoir si , ils ont reçu mon mail demandant de questionner le consulat du Cap Vert sur sa capacité de délivrer des visas en une matinée . Pas de chance , ils ne l'ont pas reçu /vu .
    Mais un monsieur fort aimable m'assure qu'à la première heure demain, la question sera posée . Cette formalité est réputée pouvoir être faite à l'aéroport d'arrivée , mais nous ne faisons qu'une escale de deux heures, alors....


    Nous quittons l'hôtel pour aller diner en ville. Nous réservons dans un petit restaurant qui nous parait sympathique et nous poursuivons notre déambulation lisboête et nocturne . Nous allons jusqu'à une place où nous avons déjà , lors d'un séjour précédent, dégusté la ginjinha. Il s'agit d'un breuvage de tous les instants , qui s'apparente aux cerises à l'eau de vie, où l'eau de vie aurait été un peu allongée avec de l'eau pour ne titrée que 23°. Cela se vend dans des petits gobelets de 5 cl  env  et se consomme sur la place.

    Après avoir sacrifié à ce rite , nous poursuivons quelques minutes dans les rues animées , puis nous dirigeons vers le restaurant Maria Mil Reis.

    Il se situe rue de São José au n° 71 et bien sur on y sert une délicieuse morue , arrosée comme il se doit de vinho verde  que bien sur, nous vous recommandons . Bien que nous fussions les deux seuls clients,  l'ambiance y était très chaleureuse.